Véronique Beucler, Les particules de mon mari sont authentiques, lu par Daniel
Paris, Albin Michel, 2008, 312 p.
Tout commence par un courrier
électronique particulièrement assassin pour l'ambassadeur d'un pays
d'Amérique du Sud, envoyé par une collaboratrice de l'ambassade à sa
meilleure amie... et arrivant par erreur dans la boîte à lettres
électronique de Son Excellence elle-même. C'est le point de départ d'un
roman aux péripéties assez lâches, qui permet de montrer un petit monde
exotique (celui du pays d'Amérique latine) et le microcosme des
expatriés français qui peinent à s'acclimater au pays qui les
accueille. Drôle à l'occasion, le ton est d'une grande fraîcheur, qui
n'exclut pas un certain sourire jaune et des portraits assez
saisissants, en particulier celui d'un ambassadeur "vieille France" qui
est bien le seul à ne pas s'apercevoir qu'il est odieux.
Commentaire plus développé ici: http://fattorius.over-blog.com/article-27324548.html
Daniel, 2083 p.