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La confrérie des 10001 pages
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6 février 2009

Paul Carta, L'Artéfact sicilien, lu par Daniel

Nice, Melis Editions, 2001, 230 p.

Un jeune collaborateur scientifique se retrouve en possession d'une boule de billard aux étranges propriétés; ses investigations à son sujet vont l'amener en Sicile où, avec ses quatre mots d'italien, il va se débrouiller pour en savoir plus. Paul Carta signe ici un roman à la lecture rapide et fluide, prétexte à présenter Palerme sous un certain visage. Et il n'hésite pas à toucher à la fois aux genres du thriller et de la science-fiction, voire au New Age, au risque (pleinement assumé!) de se montrer trop foisonnant.

Commentaire plus détaillé ici: http://fattorius.over-blog.com/article-27635570.html

Daniel, 2929 p.

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Commentaires
D
Ce roman peut laisser une impression de foisonnement des genres (thriller, polar, SF, un peu de critique de la fonction publique, etc.), mais il se lit avec plaisir: l'histoire est bonne, tient la route et amène son lot de coups de théâtre. <br /> <br /> L'auteur a par ailleurs écrit d'autres romans ayant trait à l'imaginaire, entre autres autour d'un autre de ses domaines de prédilection: les échecs.
N
Ce roman a l'air sympa, ça me tente !
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